Retour sur les bancs de l’école…

      13 commentaires sur Retour sur les bancs de l’école…

Bonjour les gens !

Désolée de ne pas poster, mais comme on peut s’y attendre, la vie au Japon prend son petit rythme et du coup je n’ai pas trop le temps (qui a dit courage ?) de me poser pour bloguer. Surtout quand je suis sur le PC, le temps que j’aille faire un coucou à tout le monde via mails, forums etc. (voilà ce que c’est d’être une geek…) et bien j’ai épuisé mon capital « envie d’être sur le net ».

Car comparé à ma vie en France où le PC est indispensable à ma survie, au Japon il est certes nécessaire mais moins central dans mon petit quotidien, hé oui.

Je vais faire des déçus mais vous n’aurez toujours pas de présentation de Charlie aujourd’hui. Pour la très bonne et très simple raison que je viens de faire ma lessive, que j’ai des habits qui sèchent un peu partout dans l’appart et que je ne peux pas me permettre de vous faire croire que j’habite dans un pressing.
Dooonc, je remets ça à quand ce sera présentable !

Et soit dit en passant je ne comprends rien à ma machine à laver, ce qui me gonfle terriblement…

En attendant (car je sais que ça vous passionne), laissez moi vous parler de ma rentrée des classes et de mon petit quotidien Tokyoïte.

Je suis donc arrivée le mardi 5 janvier et le mercredi 6 à 14h j’avais ma cérémonie de rentrée des classes plus un examen de niveau pour déterminer ma classe.

La cérémonie de rentrée des classes étaient très japonaise. Tous les nouveaux élèves regroupés dans une salle, avec un discours de la présidente de l’école (car oui c’est une femme, les femmes au pouvoir, ouaiiiis !), un discours du vice président (les hommes en sous fiffre, ouaaais) ET, et ça je l’aurais parié, une jikoshôkaï de tout le personnel de l’école.

Laissez-moi vous parler du MERVEILLEUX concept de la Jikoshôkaï.
Ca veut dire littéralement « présentation de soi-même ». Donc on se lève, on se met face à tout le monde et on se présente : nom, prénom, âge, occupation, ce qu’on aime dans la vie, plus un petit mot personnel, son but dans la vie, le mot du jour, bref vous pouvez y ajouter votre petite touche personnelle en rajoutant un truc comme « hier, j’ai mangé une pomme » et vous aurez fait une Jikoshôkaï accomplie.

Evidemment, je déteste ça, et 90% des Japonais aussi.
Et pourtant ces abrut*s se l’infligent dès qu’ils en ont l’occasion. Alors pensez, une cérémonie de pré-rentrée, l’occasion était trop belle. On a donc eu droit à une quarantaine de Jikoshôkaï, mais bon, elles étaient souvent rigolotes (genre le professeur le plus vieux et – sans méchanceté aucune – le plus moche qui se présente comme étant KimuTaku… KimuTaku qui pour les non initiés est une grande star japonaises qui fait craquer les minettes – moi y compris- depuis plus de 15 ans au Japon).

Ca va, c’était encore pas si terrible comme Jikoshôkaï time, j’ai connu pire. J’avoue avoir eu peur qu’ils fassent jikoshôkailler (j’essaie d’introduire ce verbe dans la langue française) toute la salle, en bon Japonais qu’ils sont mais non, ils se sont montrés cléments.
Vous allez me dire qu’ils n’auraient quand même pas fait se présenter une centaine de nouveaux élèves !
Et bien sachez que nos amis Japonais en sont capables !
J’ai encore le souvenir cuisant d’Osaka, quand je faisais partie du club de badminton. Il y’avait eu une journée spéciale pour l’anniversaire du club de badminton de la fac, et toutes les générations des anciens étudiants de mon universités qui avaient fait partie de ce club avaient été invités à venir jouer des matchs avec les étudiants d’aujourd’hui.
On avait donc des sempai âgés de 60 ans qui revenaient à l’université pour jouer avec nous (et croyez moi, ils jouaient mieux que moi… mais vu mes talents sportifs, c’est pas bien difficile me direz vous). Il y’avait plus de 200 personnes ce jour-là.
Et vers la fin de la journée, une fois tous les matchs inter-générations terminés, là où je ne m’y attendais plus du tout… discours du tout premier capitaine du club il y’a 50 ans, discours du capitaine du club d’aujourd’hui et… JIKOSHÔKAÏ !!!
Naïve je me suis dit « Ah ils vont faire ce présenter que les personnes importantes pour le club ! ». Et bah non, les 200 personnes y sont passées et croyez moi ou pas mais ça a duré plus de 2h… 2h, debouts en cercle dans un grand gymnase à regarder tout le monde défiler au milieu du cercle pour nous dire son nom et un bout de sa vie qu’on oublie à peine il a laissé sa place au suivant.
Et on passait des plus anciens aux membres les plus récents, et évidemment le dernier membre arrivé, c’était moi.
J’ai donc été la dernière à passer au milieu de ce cercle immense avec 200 paires d’yeux qui vomissaient l’excès de Jikoshôkaï posés sur moi.

Horribilus.

Non vraiment, c’est un traumatisme. Et déjà que j’aimais pas jikoshôkailler avant, depuis c’est pire.
Mais, merci bien, on a pas eu à tous le faire cette fois là.

Ensuite il y’a eu l’examen de niveau.
Ca ne change rien à notre entrée dans l’école ou non, c’est juste pour définir notre classe car on a pas tous le même niveau de Japonais.
Exemple, la petite espagnole à côté de moi ne causait quasiment pas un mot.
Donc pas vraiment de pression pour l’examen, juste j’espérais réussir assez pour être dans les classes de niveaux élevés, car c’est les cours du matin et on a donc l’après midi de libre. Et aussi parce que dans les niveaux avancés on peut choisir le type de cours qu’on veut suivre alors que les niveaux en dessous tout est imposé.
Et j’ai eu ce que je voulais puisque je suis dans une classe de niveau 6, qui correspond (pour ceux qui connaissent) à la préparation au 1kyu.
Et ça tombe bien, puisque le 1kyu je compte le tenter au mois de Juillet.

Qu’est-ce que le 1kyu… C’est un test de niveau de langue (comme le TOEIC en anglais par exemple) de japonais, souvent (quasiment à chaque fois) demandé quand on veut travailler au Japon. Il y’a 5 niveau, ca va du 5kyu (niveau le plus facile) au 1kyu (niveau le plus dur). Et donc, comme j’ai eu le 2kyu y’a deux ans, il est temps que je me bouge les fesses pour tenter le 1.
D’ailleurs je vais le tenter cette année, soit l’année de la réforme et où paraît-il, ils ont augmenté le niveau demandé.
Chuper !
Mais bon, si je l’ai ce sera que du bonus. Et puisque j’ai pris un cours spécial à la préparation du 1kyu (et sa réforme, lol), y’a pas de raison…

BREF, tout ça pour dire que je suis à la classe 6 qui correspond à un niveau entre 2kyu et 1kyu et qu’il y’a 11 classes en tout… Ce qui veut dire que les classes 7 à 11 forment un public qui ont un niveau au dessus du 1kyu… Autant vous dire que quand vous êtes diplômés de la classe 11 vous tatouillez méchamment en Japonais… Car déjà moi qui suis considérée comme bilingue, je suis à peine à la moitié du parcours…!
Enfin en tous les cas ça fait plaisir, ça veut dire que je me suis pas inscrite ici pour rien et que oui, ils ont des choses à m’apprendre (d’autant plus qu’ils proposent d’autres cours que des cours de langues donc je ne fais pas que ça non plus).

Et donc, j’ai réussi à être dans les classes au-delà du niveau intermédiaires donc j’ai eu ce que je voulais, tous mes cours sont concentrés le matin !
Je finis mes cours tous les jours à 12h40… Si CA c’est pas la belle vie, alors je ne sais pas ce que c’est !
J’ajouterai toutefois au passage qu’avoir les cours le matin m’offre un deuxième avantage ! Celui de vivre le vrai Rush Hour Tokyoïte, avec gars de la sécurités qui régulent les entrées dans les rames et nous poussent pour pouvoir fermer la porte s‘il le faut, la buée provoquée par la chaleur humaine qui fait qu’on peut même pas voir l’intérieur du train tellement y’a de monde et les gens collés les uns contre les autres, le nez écrasé contre la vitre.
Très exotique… il faut que je vous fasse une vidéo à l’occasion.

Le lendemain du test, j’ai eu une réunion de pré-rentrée où ils nous exposaient les règles de l’école et tout ce qui va avec.
Rien de bien transcendant en soi, juste l’importance de bien aller en cours car à partir de moins de 80% de présence l’immigration commençait à faire la gueule et demander des comptes et moins de 60% de présence, l’école devait nous expulser et prévenir l’immigration qu’on réside au Japon illégalement !
Et bien c’est joyeux tout ça !
Après bon, je paye pas une école des 1000 et des 100 pour sécher donc je ne me sens pas spécialement concernée.
De plus, j’aimerais bien essayer d’obtenir une de leurs bourses (qu’on peut obtenir à la fin de chaque trimestre selon notes, présence en classe et autres) donc il faut que je fasse ma sérieuse. *sort ses lunettes cul de bouteille et ses boutons sur le visage*
On nous a aussi fait un topo sur les démarches administratives (assurances, tout ça) et bien sur pour travailler à côté des cours, car notre visa nous donne l’autorisation de travailler jusqu’à 20h par semaines.
On peut faire tout ce qu’on veut à part travailler dans les Pachino (jeux d’argent avec des billes bruyant et qui ne sert strictement à rien) ou dans les Host Club.
Ca tombe bien, je comptais pas particulièrement me prostituer ou travailler dans des établissements régis par les Yakuza (quoique ça gagne bien, certes…. )

Et enfin le vendredi les cours ont déjà commencé.
Bon là par contre on a eu droit à la Jikoshôkaï de rigueur mais même si je DETESTE ça, à 15 ça reste vivable… (mais je suis quand même toute rouge, mal au ventre et tout ça…)
Seulement quatre heures de cours chaque matin du lundi au vendredi (soit 20h par semaine, ce qui revient au même qu’une semaine de cours à la fac) avec deux heures de grammaires et deux heures d’option qu’on a choisi. Et une pause à chaque heure de 5min pour couper. Pour moi qui ait encore les soporifiques cours de 3h d’affilée de linguistique Japonaise de notre chère Sh*mam*ri Sensei, ça passe vraiment tout seul et on arrive vite à 12h40, l’heure de rentrer chez soi ou de profiter de Tokyo et de tous ses vices.

Par contre on a plein de petits tests tout au long du trimestre (en plus de l’examen final pour savoir si on peut passer à la classe suivante ou non) et ça commencent déjà car j’ai déjà un petit exam vendredi matin… Punaise ils sont au taquet quand même… Mais bon, je pense aux 100 000 yens de bourses et je me dis que ça vaut bien de réviser régulièrement.

Les profs sont supers sympa mais SURTOUT, très drôles. Une éternité que j’avais pas ris comme ça en cours, je savais même plus que ça pouvait exister tiens. Et on glande pas pour autant, car pareil ça faisait bien longtemps que j’avais pas tant appris en une semaine.
Les profs sont des vrais gentils quoi, ça se sent qu’ils ne font pas leur boulot parce qu’ils sont payés pour, mais tout simplement parce que ça leur plaît. Du coup, très bonne ambiance et le temps passe vite.

Je me souviens encore de Tsugawa-sensei à Osaka qui s’était mis à courir en sens inverse pour ne pas avoir à nous dire bonjour ou discuter avec nous quand Raph et moi allions pour le saluer à la sortie de l‘université… (un grand moment de ma vie ça aussi, anthologique)

Bref, rien à redire sur l’école… si ce n’est que je me sens un peu seule pendant les cours.
Tous les européens ou autres n’ont pas un niveau de langue aussi avancés et sont tous dans les classes de japonais débutants ou presque.
Donc je suis la seule visage pâle au milieu de nos amis Coréens et Chinois.
Ce qui en un sens est flatteur. Je me souviens encore une fois quand j’étais arrivée à Osaka, je regardais tous les Coréens et Chinois qui avaient un super niveau alors que moi je galérais en cours et n’arrivait pas du tout à suivre.
Ben voilà, aujourd’hui je suis parmi eux… Kioul.
Juste le truc c’est que je suis ISOLEE, un truc de fou.
Parce qu’ils restent entre eux, et que moi j’arrive en cours d’année donc ils se connaissent déjà tous.
Ils sont pas méchants mais disons qu’ils me disent bonjour quand j’arrive en classe mais après je n’existe plus.
Je suppose que si je veux être amie avec eux il va falloir que ce soit moi qui me bouge le cul, mais dès que les cours finissent ils se retrouvent et rigolent en masse à des histoires qui ont l’air très drôles mais qui sont racontées… EN CHINOIS ou COREEN.
Donc bref, du coup c’est pas tip top pour s’incruster dans la conversation…
Moi qui arrête pas de dire que je veux apprendre le coréen, si je veux une vie sociale dans cette école, je crois que c’est le moment de m’y mettre.
Anyong Hasseyo…

Enfin j’ai senti une ouverture avec une Taiwanaise ce matin, je vais voir dans les prochains jours si sur un malentendu je pourrais conclure. (Jean-Claude Dusse, si tu nous écoutes…)

Voili voilu. J’ajouterai que l’école est située dans un quartier sympatoche et qu’il y’a un immense passage piéton avant d’aller à la rue qui mène au bâtiment. Et qu’à ce foutu passage piéton il y’a… la musique de film d’horreur. Raah.
Bon seuls ceux qui ont vécus (ou sont restés assez longtemps pour tomber dessus) au Japon comprendront de quoi je parle. Y’a toujours des petites musiques ou des petites sonneries, pour prévenir les aveugles que c’est vert et qu’on peut traverser. Et elle dure tout le long du feu.
Et y’en a une donc, c’est une musique trop glauque… La première fois que je l’ai entendu, il faisait nuit et j’étais à un passage piétons dans une petite ville où y’a rien… ET BAH JE FAISAIS PAS MA FIERE.
Et donc, Ô Joie, j’ai l’occasion d’entendre cette charmante marche funèbre tous les matins quand je traverse.

Bon désolée pour ce post long sans photo et pas très passionnant, de plus comme je suis crevée je vais poster sans me relire ce qui promet de belles fautes mais bon… Je ferai mieux la prochaine fois !

Bisous à tous les loulou o//

13 thoughts on “Retour sur les bancs de l’école…

  1. hotarukali

    Anyong!
    je suis ptdr, entre le conclure sur un malentendu, la marche funèbre et tout le reste… j’adore.
    Bref courage, façon t’es kro merveilleuse pour qu’ils te laissent seule bien longtemps, ça va viendre t’en fais pas!

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  2. Laetitia

    Je crois que même en france on y coupe pas au Jikoshôkaï!! J’ai du le pratiquer dans toutes mes boites!!! Et ça doit être pareil dans une entreprise japonaise!!! Du coup au tant s’entraîner toute sa jeunesse surtout pour le japonais de base qui ne doit ouvrir la bouche en public qu’a cette occasion!!!
    ????????? (desolee je ne connais pas encore les kanji correspondant, moi parlé language maternelle >_<)

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  3. Maud

    Yeah ? N’empêche que ca à l’air tout simpa ! L’ambience de tes cours me font penser aux miends dans certaines matières alors j’peux comprendre l’ambience et puis tu dis comme moi: kioul ! J’utilise le mot rarement mais ca m’arrive 🙂
    J’attends déjà avec impatience d’autres nouvelles et avantures ! Bisouw

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  4. Alice

    Hey, une marche funèbre comme les jumeaux Weasley pour l’hymne de Poudlard dans le premier tome ?? (Ben quoi, je parle à une connaisseuse ou pas ? è_é )

    Trop cool que ce soit tout comme tu voulais, des journée que le matin (comme moi ^^) et des profs bonne ambiance !

    Que ça continue !

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  5. isabelle

    moi, ça me donne envie d’aller passer quelques semaines en stage de langue au Japon…je VEUX décoller de mon niveau SUPER DEBUTANT ! Je me suis réveillée ce matin entrain de me dire : ?????????????……..Ah mais pas du tout, je ne suis pas une pochtron, je me suis juste couchée après avoir fait des exercices de japonais….

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  6. Sonyan Post author

    Hotaru >> Anyong mi amor ! Je vois que toi aussi tu tatouilles le coréen dis moi (sans mauvais jeux de mot, bien entendu…)
    Ma musique glauque j’aimerais bien vous l’enregistrer, ça me fait marrer d’entendre ça a chaque fois que je vais en cours et de regarder tous les salary man qui vont bosser traverser dessus… XD
    Finalement c’est peut être choisi en fonction… lol
    Sinon pour la taiwanaise ça avance, elle était assise à côté de moi ce matin ! Oui bon, y’avait plus de place ailleurs… mais on s’est même dit 2 phrases, chuper ! \o/ mdr

    Laetitia >> Mon dieu, même nous les français nous pratiquons cette coutume barbare qu’est la Jikoshökai ?? J’avoue qu’avec mon peu d’expérience en entreprise, je n’ai pas eu à le faire.
    Mais les Japonais en abusent… avec ce même club de badminton on était allé au restau après une journée de match. Va faisait déjà 2 mois que l’activité du club avait reprise, donc on se connaissait tu vois. La bouffe arrive sur la table et là y’a un c*nnard qui fait « Et si on se faisait une Jikoshôkai ?? »… heu, mais on se connait déjà… qu’à cela ne tienne, on a passé 30min à Jikoshôkailler et on a bouffé froid. \o/
    Bref facon le club de badminton c’est con que j’ai jamais écrit dessus dans mon ancien blog car c’était vraiment le choc des cultures, lol.

    Maud >> Effectivement mon école est super sympa et ça fait quand même plaisir quand on à affaire à des profs qui ont compris que c’était plus agréable de travailler dans une ambiance détendue mais cadrée, que dans une atmosphère lourde et soporifique.

    Alice >> Continue tes références à Harry autant que tu veux ma belle, je suis dans le mouv’ de toute façon là, au taquet ! J’avoue que je suis vraiment super heureuse d’avoir cours que le matin, j’ai le temps de faire plein de choses la journée et ça me fait des week end de presque 3 jours. Bref, la belle vie !

    Isabelle >> Ben honnêtement les écoles de langues au Japon pour les stages à long ou courts termes sont cheres mais efficaces. Je connaissais une fille qui avait fait un stage de 3 mois quand j’étais arrivée à Osaka. Et bien elle m’impressionnait elle parlait vraiment bien, beaucoup mieux que moi à l’époque qui avait pourtant étudié 2 ans à la fac.
    En tous cas je vois qu’à tes cours on t’apprend les phrases utiles dis moi… lool

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  7. MYRIAM

    On dirait une réunion des alcooliques anonymes (Bonjour, je m’appelle machin « bonjoouurr machin!! » etc etc lol Moi aussi j’ai horreur de ça et à l’iufm on en a eu plein aussi!! Mais j’imagine que la version janponaise est encore plus funky!!

    Bon à part ça comme tu déchires d’être dans le groupe où t’es!! Qu’avec des asiats. C’est plus que flatteur 😉

    L’école a l’air super bien, c cool, ça valait l’investissement. ça fait plaisir 🙂

    Bon courage pr le rapprochement franco-taiwanais et le reste.

    gros bisous!!

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  8. isabelle

    Laetitia>…hehe, oui. Je prends des cours via mon boulot et c’est la méthode adoptée par les profs.

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  9. Sonyan Post author

    Alice >> Attends déjà que je t’ai fais ton avatar Alice et ton horaire japonais… lol

    Myriam >> C’est vrai que ça fait plaisir de se retrouver avec les chinois et les coréens qui ont forcément beaucoup plus de facilité et que j’admirais tellement il y’a trois ans, mais on se sent quand même super à part. lol
    Enfin ces derniers jours ça commence à s’arranger, à suivre dans mes prochaines aventures ! Sinon on a eu encore droit aux Jikoshokai anonyme aujourd’hui… Notre prof nous a parlé de son boysband préféré… XD

    Laetitia & Isabelle >> Minna no nihongo reste le manuel le plus utilisé dans le monde pour apprendre le Japonais et je pense (que même si comme tout manuel les textes débutants sont bidons, lol) que c’est effectivement un des meilleurs pour apprendre.
    Nous on a appris avec un manuel écrits par nos profs (bah faut bien qu’ils vendent…) et c’était franchement pas terrible.

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  10. Gaelle

    c’etait bien cette ecole finalement?? ca valait le coup?
    (oui, je lis le blog au fur et a mesure donc je sais pas encore la suiiiiite (a part que t’es toujours vivante….)

    c’etait cher?
    cher cher cher?
    cher comment?
    efficace?

    j’ai besoin de reponses OO

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  11. Sonyan Post author

    Gaelle >>
    Cette école était super ! J’ai écris un blog sur le sujet d’ailleurs, assez complet (long en tous cas lol) qui pourra surement t’en dire plus.
    Sinon oui c’était assez cher, mais vu le cours du yen actuel(1 euro = 102 yens contre 1 euro – 132 yens quand je suis partie) a mon avis ça tape dans le hors de prix la. Ca doit friser les 1800 euros par trimestre avec le cours actuel.
    Je te donnerai le lien ou je parle de l’école et répondrai à tes questions en pv si tu veux.

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